Cette semaine, découvrez la majeure de l’intérieur avec Camille qui répond à nos questions !
Pour toi, un bon master, qu’est-ce que ça veut dire ?
Pour moi, un bon master est constitué de cours diversifiés qui m’offrent un panorama complet et pertinent du milieu et du thème qu’il aborde ; et je considère que la majeure culture est un bon master ! On a eu l’occasion d’avoir des intervenants venant de tous les horizons de la sphère culturelle : public, privé, musées, banques, Opéra, international…
Qu’est-ce que la majeure t’apporte ?
La majeure m’éclaire à plusieurs points de vue. D’abord, parce que sa richesse et sa diversité me permettent d’envisager beaucoup d’aspects de la culture pour m’orienter vers ce qui me plaît le plus. Ensuite, parce qu’elle est concrète : nous recevons des intervenants qui ne sont pas professeurs mais professionnels du milieu de la culture et qui viennent nous parler de leur quotidien, de leur monde, de leurs valeurs et de leurs motivations.
Personnellement, elle est un teambuilding à elle toute seule ! Nous sommes une trentaine d’étudiants passionnés, réunis autour de l’Art avec un grand A, volontaires et ambitieux et nous partageons nos différences, nos expériences ! La majeure est une richesse professionnellement et personnellement aussi !
Quel séminaire as-tu choisi pour le mois d’avril ? Pourquoi ?
J’ai choisi le séminaire à Bilbao, mais ce choix ne coulait pas de source pour moi. Il faut souligner que les trois séminaires sont tout autant attrayants les uns que les autres, et si j’avais pu faire les trois, alors je l’aurais fait. J’ai choisi Bilbao parce que c’est ce qui se rapproche le plus de mon projet professionnel (pourtant bien flou !). Il s’inscrit autour du dynamisme culturel qui a construit et développé la ville, sur les problématiques étroites qui relient art et urbanisme.
Quelles sont les 5 bonnes raisons qui t’ont fait choisir notre majeure ?
1 – Mon projet professionnel s’y inscrit à 100%… ainsi que mes passions dans la vie
2 – Les bons échos que j’ai eus des promotions supérieurs… c’en était alléchant !
3 – le grand nombre d’intervenants différents dans les cours
4 – le séminaire à l’étranger et l’échange universitaire
5 – le séminaire à l’Ecole du Louvre, où nous suivrons les cours de l’Ecole pendant 2 semaines
Un fait marquant de ces 3 premiers mois ?
Je dirais les à côtés de la majeure, soit les séances de cinéma que nous faisons avec la classe sur notre propre initiative et pour notre culture personnelle, la visite du FRAC des Pays de la Loire, les sorties que nous organisons ensemble où nous nous enrichissons non seulement mutuellement mais aussi de l’environnement qui nous entoure.
Quelques mots sur ta pratique de la danse ?
A côté des cours de la Majeure, j’ai aussi l’occasion de développer la grande passion de ma vie, la danse. Nous avons notamment eu l’intervention du Directeur des Affaires Financières de l’Opéra de Paris qui était extrêmement intéressante.
Au sein de la Majeure et des évènements dynamiques culturels d’Audencia, je trouve le moyen d’aller le professionnel et le personnel. Au risque de paraître clichée, la Majeure Culture est un bouillonnement personnel, professionnel et artistique !